Gustav Klimt (1862 – 1918)

 

Voici quelques tableaux du peintre autrichien Gustav Klimt, l’un des maîtres du symbolisme.
Here are some pictures of the Austrian painter Gustav Klimt, a master of symbolism.


Le baiser – 1907-1908
The kiss – 1907-1908

 


Portrait d’Adele Bloch-Bauer I – 1907
Portrait of Adele Bloch-Bauer I – 1907

 


Pallas Athena – 1898

 


La jeune fille – 1913
Young girl – 1913

 


Judith I – 1901

 


L’attente – 1905-1909
Wait – 1905-1909

 


La frise Beethoven (détail) – 1902
The Beethoven frieze (detail) – 1902

 


La sculpture – 1896
Sculpture – 1896

 

La tragédie – 1897
Tragedy – 1897

 



Portrait d’Emilie Flöge – 1902
Portrait of Emilie Flöge – 1902

 

Le Grand Bouddha de Kamakura – The Great Buddha of Kamakura

 

Le grand Bouddha (Daibutsu) de Kamakura au Japon est une statue de bronze qui a été érigée en 1252. Elle fait 13.5 mètres de haut et c’est une des représentations de Bouddha les plus connues dans le monde entier. Elle trône dans un petit parc entouré de collines, à quelques centaines de mètres de l’océan Pacifique, et attire un nombre considérable de touristes, aussi bien japonais qu’étrangers.

 

The Great Buddha (Daibutsu) of Kamakura in Japan is a bronze statue which was erected in 1252. It is 13.5 meters high and is one of the representation of Buddha’s best-known worldwide. It is enthroned in a small park surrounded by hills, a few hundred meters from the Pacific Ocean, and attracts a considerable number of tourists, both Japanese and foreign.

 

 

Hiroshi Nonami et ses portraits de femmes rêvées – Hiroshi Nonami and his portraits of women dreamed

 

Hiroshi Nonami est un photographe japonais spécialisé dans les portraits de femmes. Mais pas n’importe quelles femmes, ses femmes habitent des mondes oniriques, ce sont des femmes végétales, des femmes minérales, des femmes irréelles; les femmes de nos rêves.

 

Hiroshi Nonami is a Japanese photographer who specializes in portraits of women. But not just any women, his wives live in dream worlds, they are women vegetable, women mineral, unreal women, and women of our dreams.



Le supplice chinois des cent morceaux – The Chinese torture of one hundred pieces

La civilisation chinoise a mené à un haut degré de raffinement nombre d’arts mais elle a aussi créé une torture inconnue des autres pays; il s’agit du supplice des cent morceaux ou des huit couteaux, appelé aussi lingchi ou lingshi et slow slicing en anglais. Cette torture était réservée aux criminels ayant commis des crimes particulièrement graves (atteinte à la vie d’un membre de la famille impériale, rébellion contre l’empereur…). Le condamné à mort était démembré, découpé vivant morceau par morceau, le bourreau retirait plusieurs parties du corps puis, une fois sa tâche achevée, il tranchait la tête du condamné.
Il nous est parvenu quelques photos de ce supplice, notamment celui du jeune Fou-Tchou-Li le 10 avril 1905; cette pratique a été abolie le même mois.
Attention, ces photos sont particulièrement violentes.

 

Chinese civilization has led to a high degree of sophistication of many arts but it also created a torture unknown in other countries. This is the torment of one hundred pieces or eight knives, also called lingchi or lingshi or slow slicing in English. This torture was reserved for criminals who have committed particularly serious crimes (injury to life of a member of the imperial family, rebellion against the imperial authority …). The condemned man was dismembered, cut up alive piece by piece, by an executioner. It withdrew several parts of the body and then, once his task completed, settled the head of the condemned.
It has survived some pictures of this torture, including that of the young Fou-Tchou-Li April 10, 1905; this practice was abolished in the same month.
Warning, these pictures are particularly violent.

 

 

Le théâtre japonais Bunraku – The Japanese theater Bunraku

 

Le Bunraku est le théâtre japonais de marionnettes. A la différence du même théâtre mais occidental, les marionnettes ne sont pas animées par des manipulateurs cachés dans le noir et par des fils mais par des personnes présentes sur scène. Parmi ces personnes, celles avec le visage visible sont reconnues comme des maîtres dans leur discipline, à la différence de celles avec un capuchon noir qui sont encore en cours de perfectionnement.

 

Bunraku is the Japanese puppet theater. Unlike the Western theater, the puppets are not animated by manipulators hidden in the dark and by threads but by those present on stage. Those with the visible face are recognized as masters in their discipline, unlike those with a black cap that are still in training.