Le sanctuaire de la vérité à Pattaya – The Sanctuary of Truth in Pattaya

Le Sanctuaire de la Vérité (Prasat Sut Ja-Tum) est un temple en bois unique au monde, situé au nord de Pattaya, en Thaïlande. Haut de 105 mètres, il couvre une superficie de 4000 mètres carrés. Construit selon l’ancienne tradition thaïlandaise, il est couvert de sculptures au point que chaque centimètre carré est orné de gravures de dieux, d’animaux mythiques ou de symboles religieux. Sa particularité la plus remarquable est qu’il est entièrement construit sans clou ni vis. Le projet a été initié par l’homme d’affaires thaïlandais Lek Viriyaphant en 1981 et devrait être terminé en 2025.

The Sanctuary of Truth (Prasat Sut Ja-Tum) is a unique wooden temple in the world, located in the north of Pattaya, Thailand. 105 meters high, it covers an area of ​​4000 m2. Built according to the ancient Thai tradition, it is covered in carvings to the point that every square inch is adorned with engravings of gods, mythical animals or religious symbols. Its most remarkable feature is that it is completely built without nails or screws. The project was initiated by Thai businessman Lek Viriyaphant in 1981 and is expected to be completed in 2025.

Kate MccGwire (1964 – ) et ses sculptures faites de plumes – Kate MccGwire (1964 – ) and her sculptures made of feathers

Kate MccGwire est une artiste anglaise dont l’œuvre, très originale, mélange les univers féérique et fantastique en utilisant exclusivement des plumes de pigeons. Depuis 2004, à partir de plumes qu’elle récolte, nettoie et colore, elle crée des sculptures aux formes étranges, s’entremêlant tel le fameux nœud gordien d’Alexandre le Grand, sans début ni fin ou tel Ouroboros, le serpent se mordant la queue. Certaines de ses créations ressemblent à des serpents, ils ondulent, se meuvent dans l’espace, conquérant celui-ci en étant menaçants pour l’homme.

Kate MccGwire is an English artist whose work, very original, mixes fairy and fantastic universes by using exclusively pigeon feathers. Since 2004, from feathers that she collects, cleans and colors, she creates sculptures with strange shapes, intertwining like the famous Gordian knot of Alexander the Great, without beginning or end or like Ouroboros, the snake biting its tail. Some of her creations resemble snakes, they undulate, move in space, conquering it while being threatening to man.

Louise Brooks fantôme dansant dans “Le journal d’une fille perdue” 1929 – Louise Brooks dancing ghost in “Diary of a Lost Girl” 1929

Louise Brooks a marqué l’histoire du cinéma avec des films comme “Loulou” ou “Le journal d’une fille perdue”. Sa coupe de cheveux à la garçonne en a fait une des icônes du cinéma mondial. Dans “Le journal d’une fille perdue”, elle interprète une jeune femme envoyée dans une maison de correction pour filles mères. Des exercices de gymnastiques ont lieu dans le dortoir et, si on fait des arrêts sur images lors de cette séquence, on découvre stupéfait que le visage de Louise Brooks a l’aspect de celui d’un fantôme, sans visage, sans yeux, avec les traits fondus en un magma blanc terrifiant… Est-ce que cela a été voulu par le réalisateur, est-ce que ça représente l’état de délabrement mental du personnage qui a tout perdu… mystère mais l’effet est saisissant.

Louise Brooks marked the history of cinema with films like “Pandora’s Box” or “Diary of a lost girl”. Her boyish haircut has made her one of the icons of world cinema. In “Diary of a Lost Girl”, she plays a young woman sent to a reformatory for unmarried mothers. Gymnastic exercises take place in the dormitory and, if we stop the footage during this sequence, we discover amazed that Louise Brooks’ face looks like that of a ghost, faceless, without eyes, with the features melted into a terrifying white magma … Was it intended by the director, does it represent the state of mental decay of the character who lost everything … mystery but the effect is striking.